mercredi, août 31, 2005

Après Google Print, Google Purge

Après avoir tout indexé ou presque, Google se débarrasse du "presque".
"As a part of Purge's first phase, executives will destroy all copyrighted materials that cannot be searched by Google. "A year ago, Google offered to scan every book on the planet for its Google Print project. Now, they are promising to burn the rest," John Battelle wrote in his widely read "Searchblog." "Thanks to Google Purge, you'll never have to worry that your search has missed some obscure book, because that book will no longer exist. And the same goes for movies, art, and music. "Book burning is just the beginning," said Google co-founder Larry Page." (dans The Onion, irrésistible journal satirique américain).
C'est drôle et grinçant et ça me rappelle un truc. Mais c'est écrit dans un style si proche de ce genre d'articles qu'on y croirait presque. Du coup, la suite fait un peu frémir :
"The company's new directive may explain its recent acquisition of Celera Genomics, the company that mapped the human genome, and its buildup of a vast army of laser-equipped robots. "Google finally has what it needs to catalog the DNA of every organism on Earth," said analyst Imran Kahn of J.P. Morgan Chase. "Of course, some people might not want their DNA indexed. Hence, the robot army. It's crazy, it's brilliant—typical Google."

Google's robot army is rumored to include some 4 million cybernetic search-and-destroy units, each capable of capturing and scanning up to 100 humans per day. Said co-founder Sergey Brin: "The scanning will be relatively painless. Hey, it's Google. It'll be fun to be scanned by a Googlebot. But in the event people resist, the robots are programmed to liquify the brain."

Réactions de Google-Watch.org (qui existe vraiment) :
""This announcement is a red flag," said Daniel Brandt, founder of Google-Watch.org. "I certainly don't want to accuse of them having bad intentions. But this campaign of destruction and genocide raises some potential privacy concerns.""

lundi, août 29, 2005

Le dernier des ploucs !

Notre bon ancien premier sinistre est parti dans la Belle-Province pour y enseigner à Montréal, ville à l'atmosphère fabuleuse. Il apprécie, certes, mais tout ce qu'il trouve à en dire sur son blog, après s'être enquillé un sandwich de chez Schwartz's (le petit Jésus en culotte develours !), c'est que ça lui rappelle "la rue Sainte-Catherine, à Bordeaux, un samedi ensoleillé..." Câlice, astit' niaiseux d'Français sont vraiment épais lo ! (plus de détails ici)

T'as un beau n'yeu, tu sais...

Voici Katrina. Attention, elle a un regard ravageur. Gare à celui qui tombe dans son oeil ! (Plus de photos sur le site du Washington Post)

samedi, août 27, 2005

Le joujou (métaphorique) du week-end

Quand vous croyez avoir échappé à l'une des billes de ce joujou, elle vous rattrape pour vous exploser en pleine poire. Une vraie métaphore de la vie, ce joujou.

jeudi, août 25, 2005

Dans la série "on s'en fout, mais ça va faire jaser"

Vive la rentrée et son lot de ragots pipeule pour se détendre des crash, triples attentats et autres famines ! Grâce à Paris-Match, on a de jolies photos de Cécilia avec son nouveau boy-friend. Et grâce à Aujourd'hui en France, on apprend un secret de polichinelle (c'est le cas de le dire...). Je vous ai manqué hein ?

mercredi, août 24, 2005

Combien de Bush boys faut-il pour changer une ampoule ?

Guillemette répond à cette question brûlante.
Je connaissais la variante mère juive :
Combien de mères juives ça prend pour changer une ampoule ?
"Non, non, c'est bon, mon fils... Je peux rester assise dans le noir."

mardi, août 23, 2005

Angela Merkel est Stone

La CDU est-elle un vulgaire pirate musical ?
Il est étonnant que les fanatiques de notre bon sinistre de l'intérieur n'ait pas repris cette chanson comme hymne officieux ? A moins qu'ils ne préfèrent celle-là.

lundi, août 08, 2005

C'était donc ça...

C'est encore Le Pen qui va gueuler si Zidane se prend pour Jeanne d'Arc...

lundi, août 01, 2005

Vacance n'est pas vacances

Non, je n'ai pas mis fin aux jours d'Imbloglio. Je ne suis pas non plus parti sur la lune voir de quoi elle était faite (un zoom maximal permet d'en savoir plus). Je ne m'en suis pas allé combattre mes démons, ni même construire des châteaux en Espagne. J'ai juste été débordé de boulot, ma connexion internet a pris des vacances, et j'ai eu des frayeurs familiales. Un été comme on ne les aime pas, en bref.